Dans La Presse
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Chauffeurs agressés : l’Association canadienne du taxi recommande des caméras
MERCREDI 29 MARS 2017 – L’Association canadienne du taxi recommande l’installation de caméras de sécurité à bord des taxis de Saskatoon, à la suite de plusieurs agressions contre des chauffeurs durant les derniers mois.
L’incident le plus récent est survenu dimanche lorsqu’un conducteur de taxi a été poignardé au visage et aux mains. En janvier, plusieurs chauffeurs avaient demandé qu’une cloison vitrée soit installée dans tous les taxis de la Ville des Ponts afin de les rendre plus sécuritaires…
L’Association canadienne du taxi met en garde les conducteurs de Niagara
L’Association canadienne du taxi met en garde les conducteurs de Niagara : toutes les réclamations des conducteurs Uber seront refusées par les polices d’assurances personnelles.
Toutefois, Uber continue de recruter à Niagara malgré ces propos…
À l’ordre du jour, Steve Paikin examine les efforts qu’a déployés la province d’Ontario pour savoir que faire du service de transport privé Uber X. (anglais)
Des centaines de chauffeurs et chauffeuses de la capitale de l’Ontario ont envahi l’hôtel de ville cette semaine pour faire passer leur message : Uber ne fait pas qu’enfreindre la loi, mais met également les passagers et les chauffeurs en danger. Uber remplacera-t-il un jour les taxis?
Toronto fait un premier pas vers la réglementation d’Uber (anglais)
TORONTO – Répétant que la popularité d’Uber prouve que le service de partage de véhicules est ici pour rester, le maire John Tory appuie un nouveau rapport sur la délivrance de permis qui vise à imposer aux entreprises sans permis la réglementation de la ville.
« Aujourd’hui, nous avons pris la première mesure visant la légifération d’Uber », a dit M. Tory à l’hôtel de ville mercredi.
Les propositions feront en sorte qu’il sera plus facile pour les taxis traditionnels de faire concurrence à Uber et à son service Uber X grâce à la réduction du tarif de base des taxis agréés, qui passera de 4,25 $ à 3,25 $.
Marc Andre Way, le président de l’ACT, parle de la question Uber dans un nouvel article de Law Times s’intitulant « Uber facing a gamut of legal challenges » (anglais)
À la suite de la tentative infructueuse de la ville de Toronto d’obtenir une injonction judiciaire contre le service Uber, nombreux sont ceux qui attendent la publication d’un rapport sur le processus de consultation publique pouvant mener à l’adoption d’un nouveau règlement municipal.
Toutefois, il semble improbable que l’ébauche d’un tel règlement mette fin aux querelles juridiques entourant Uber, à tout le moins si l’on tient compte de l’opposition que le service a suscitée parmi la communauté des chauffeurs de taxi. Selon Marc Andre Way, président de l’Association canadienne du taxi, la société et ses chauffeurs méprisent plusieurs lois. « Au minimum, il y a quatre domaines dans lesquels Uber ne fait pas les choses adéquatement », affirme-t-il.
Taxi Diamond actualise son application avec des fonctionnalités semblables à celles qu’offre Uber
L’industrie du taxi de Montréal a essuyé sa part de critiques dernièrement, alors qu’on lui a reproché d’être dépassée. Taxi Diamond affirme avoir réagi en modernisant son application mobile.
La plus grande entreprise de taxis de la ville a diffusé une version actualisée de son application pour téléphones intelligents utilisant les plates-formes iOS et Android. À l’instar de la populaire application d’Uber, les utilisateurs peuvent payer par le biais de l’application en plus d’évaluer le trajet et le véhicule qu’ils utilisent.
« Nous avons décidé d’apporter certaines modifications à notre application cette année dans le but évident de réagir à la demande de la clientèle », a dit Raffi Artinian, directeur général adjoint de Taxi Diamond.
Uber Canada fait face à un recours collectif de 400 millions de dollars (anglais)
Par Ian Hardy
Sutts, Strosberg s.r.l. a déposé un recours collectif contre Uber et Uber Canada.
Le cabinet d’avocats représente des propriétaires autorisés de taxis, des chauffeurs de taxi, des courtiers de taxis, des propriétaires de limousines, des chauffeurs de limousine et des entreprises de services de limousines de la province d’Ontario qui intentent un recours collectif contre Uber, qu’ils accusent d’avoir créé un « énorme marché de transport illégal à Toronto ».
Les demandeurs cherchent à obtenir 400 millions de dollars canadiens en dommages-intérêts compensatoires, 10 millions de dollars en dommages-intérêts punitifs ainsi qu’une injonction interdisant à Uber X de poursuivre ses activités en Ontario.
La poursuite laisse entendre que les chauffeurs et chauffeuses d’Uber X manquent à l’article 39.1 du Code de la route et ne possèdent pas le permis requis pour accepter une compensation lorsqu’ils transportent des passagers. Cet article du Code de la route stipule qu’aucune personne ne peut prendre des dispositions pour offrir à un passager un service de transport dans un véhicule motorisé autre qu’un autobus en contrepartie d’une compensation.
Les demandeurs allèguent qu’Uber X et Uber XL ont créé un énorme marché de transport illégal à Toronto. « Les tribunaux ont antérieurement rendu une décision, indiquant que les services d’Uber Black, d’Uber SLV et d’Uber Taxi ne contrevenaient à aucun règlement municipal. Néanmoins, nous avançons qu’Uber X et Uber XL ne font pas partie de la même catégorie et qu’ils manquent de façon flagrante au Code de la route de l’Ontario, au détriment des intérêts commerciaux de tous les exploitants de taxis et limousines de la province ».
Un cadre de l’industrie du taxi d’Ottawa nommé président de l’Association canadienne du taxi (anglias)
Par Lucy Scholey
Marc Andre Way a payé son université en conduisant un taxi.
Il a commencé à travailler comme chauffeur à l’âge de 17 ans et a depuis touché à tous les aspects de la profession : pompiste, répartiteur et, plus récemment, gestionnaire des flottes de taxis de Conventry Connections à Ottawa.
Mardi, l’homme âgé de 47 ans a accepté un nouveau rôle, celui de président de l’Association canadienne du taxi (ACT), qui représente des exploitants de taxis indépendants de partout au pays. Dans le cas d’Uber Canada et d’autres applications de partage de véhicules des États-Unis, comme Lyft, qui a des villes canadiennes dans sa ligne de mire, l’industrie du taxi présente un visage différent de l’époque où M. Way a pris le volant pour la première, il y a près de trente ans.
L’ACT a vu le jour dans les années 1990. Mais il ne s’agissait pas du type de groupe qui se limitait à échanger des idées, affirme M. Way. C’est en partie toujours la réalité. Cependant, M. Way envisage également de travailler en collaboration avec des villes afin de veiller à ce que la réglementation et les principales règles à suivre ne s’érodent pas au point de créer un climat du Far West.
« La barre est placée à un certain niveau et nous nous y conformerons », affirme M. Way.
Le « Far West » est une expression que les maires d’Ottawa et de Toronto ont utilisée pour décrire l’industrie du taxi depuis qu’Uber a fait son entrée dans le marché. Les deux villes ont sévi contre les chauffeurs d’Uber – et Toronto a tenté en vain de déposer une injonction contre l’entreprise – et toutes deux prévoient d’analyser la réglementation qu’ils imposent à leurs entreprises de taxis.
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Le vice-président de Coventry Connections dirigera l’Association canadienne du taxi afin de mener le combat contre Uber (anglais)
Par Tom Pechloff
Le propriétaire de Capital Taxi d’Ottawa et vice-président de Coventry Connections a été nommé président de l’Association canadienne du taxi.
La désignation de Marc Andre Way la semaine passée s’inscrit dans le renouveau que connaît l’Association alors qu’elle poursuit son combat contre l’entreprise de partage de véhicules Uber.
L’ACT a également dévoilé son nouveau logo, son nouveau site Web et son nouveau slogan : « Pour l’avancement de notre industrie ».
M. Way affirme que l’Association a vu le jour dans les années 1990 pour aider l’industrie à s’adapter à l’application de la TPS. Depuis lors, elle s’est transformée et s’apparente davantage à un groupe de discussion, dit-il.
Avec l’arrivée d’Uber X, le groupe a décidé que le temps était venu de se réinventer, encore une fois.
Taxi Diamond actualise son application avec des fonctionnalités semblables à celles d’Uber (anglais)
Par Michelle Pucci
L’industrie du taxi de Montréal a essuyé sa part de critiques dernièrement, alors qu’on lui a reproché d’être dépassée. Taxi Diamond affirme avoir réagi en modernisant son application mobile.
La plus grande entreprise de taxis de la ville a diffusé une version actualisée de son application pour téléphones intelligents utilisant les plates-formes iOS et Android. À l’instar de la populaire application d’Uber, les utilisateurs peuvent payer par le biais de l’application en plus d’évaluer le trajet et le véhicule qu’ils utilisent.
« Nous avons décidé d’apporter certaines modifications à notre application cette année dans le but évident de réagir à la demande de la clientèle », a dit Raffi Artinian, directeur général adjoint de Taxi Diamond.
Ce changement fait suite à la demande de modernisation qu’a envoyée Robert Poëti, ministre des Transports du Québec, à l’industrie dans le cadre du sommet sur les taxis qui a eu lieu à Montréal la semaine passée.
L’avènement d’Uber à Montréal a mis de la pression sur les entreprises de taxis de la ville et les a poussés à actualiser leurs services.
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Des taxis qui mise sur le numérique
L’arrivée du service de transport Uber a forcé la main des taxis à s’adapter aux nouvelles technologies. Le plus important joueur dans l’industrie à Montréal lance le bal. Taxi Diamond offre maintenant une nouvelle application qui veut révolutionner la façon dont on prend les taxis dans les rues de la métropole. Le reportage de Mathieu Dion.
Uber ciblé par la plus grande ville canadienne au milieu de protestations des chauffeurs et chauffeuses de taxi (anglais)
Par Alastair Sharp
TORONTO (Reuters) – Des chauffeurs et chauffeuses de taxi ont envahi une salle d’audience de la plus grande ville du Canada alors que Toronto examinait une requête exigeant que le service de service de partage de véhicules Uber soit réglementé, à l’instar des entreprises de taxi traditionnelles avec lesquelles il rivalise.
Trois ans plus tard, les entreprises de taxi traditionnelles sont prêtes à rivaliser avec Uber (anglais)
Quelques jours avant que des avocats de la ville de Toronto et d’Uber ne se présentent devant les tribunaux à la suite d’une injonction envoyée au service de partage de véhicules, deux entreprises de taxi locales ont lancé de nouvelles applications pour téléphones cellulaires.
Les applications permettent aux clients de réserver un taxi, de suivre le déplacement de leur voiture et de payer le trajet à même l’application. Ça vous rappelle quelque chose?
Uber a perturbé pour une première fois l’industrie du taxi de Toronto il y a trois ans, lors de son lancement le 15 mars 2012. Depuis, il n’a cessé de prendre de l’ampleur au Canada, s’installant à Halifax, Québec, Montréal, Ottawa et Edmonton.
J’ai secrètement été chauffeur pour Uber (anglais)
Le forum d’Uber réunit des chauffeurs et chauffeuses dans une rage collective normalement associée aux émissions-débats de grandes chaînes de télévision. Ils s’insurgent contre tout. Les passagers gâtés pourris. Les baisses de tarif. La peur de se trouver dans un système de classement arbitraire. La bête application Spotify, qui envahit leurs appareils plutôt que ceux des passagers. Un groupe de chauffeurs a même utilisé le forum comme port d’attache pour tenter de se syndicaliser dans plusieurs villes.
Mais j’y ai également trouvé quelques numéros utiles pour combler le vide de la formation vidéo qu’offre Uber. Par exemple, j’ai appris que je devais accepter 90 pour cent des gens pour éviter d’avoir des ennuis. C’est également avec surprise que j’ai su que la limite d’Uber pour exclure les chauffeurs qui offrent un service en deçà des attentes des clients est généralement de seulement 4,6 étoiles : je n’avais aucune idée, lorsque j’utilisais Uber en tant que passager, que donner quatre étoiles à un chauffeur constituait un grave problème.
Saluer la révolution Uber (anglais)
De l’avis de certains, c’est dans la Rome antique que le taximètre a vu le jour. Il s’agissait d’une série de disques métalliques liés les uns aux autres qui comptaient le nombre de révolutions d’une roue du chariot et qui indiquaient la distance parcourue en laissant tomber des cailloux dans une boîte. Et si c’était bel et bien le cas, vous pouvez avoir la certitude que les premiers règlements auxquels ont dû se plier les taxis et chauffeurs ont vite suivi.
Les autorités de Paris et de Londres ont certainement réglementé les fiacres dès le début du XVIIe siècle. En Amérique du Nord, toutefois, ce n’est pas avant la Grande Crise des années 1930, alors que des chauffeurs désespérés en venaient souvent aux poings dans les rues de la ville, que la plupart des villes ont commencé à délivrer des permis et à limiter le nombre de véhicules motorisés offrant des services de taxis.
Macleans a une grande variété d’articles abordant le sujet des taxis. Consultez les liens ici: